Pour utiliser le terme technique en vigueur: migration hier soir vers Windows Seven.
J’avais fini par m’habituer aux petites contrariétés persistantes de Vista. Des fenêtres qui ouvrent avec des modes de présentation que l’on n’a jamais enregistrés: une fois des icônes de grandes tailles, une fois des petites, une fois des listes. Des sons Windows qu’on finit par ne plus entendre le temps passant, comme le "stong" quand on retire un périphérique USB, même dans les règles de l’art: problèmes connus de compatibilité avec les cartes son. La mise en veille simple qui se transforme en veille prolongée sur un portable quand on est sur batterie alors qu’on a bien configuré le gestionnaire de fermeture. Les anciens logiciels remisés au placard. La définition graphique du fond d’écran qui varie selon la technique utilisée pour sa mise en place. Le petit gadget avec les cadrans d’utilisation du système dont celui de gauche monte régulièrement en flèche et celui de droite indique en continu une occupation copieuse de la RAM par le système. Les mises à jour qui tombent drues...
Le graphisme de l’interface de Vista était quoi qu’il en soit fort réussi avec son mode Aero et la prise en main du système d'exploitation très intuitive et un peu moins pagaille que sous XP.
Le passage à un autre système d’exploitation est souvent éprouvant pour les nerfs dans les heures qui suivent. L’application que vous utilisiez journellement, celle-là et pas les autres, ne fonctionne plus qu’imparfaitement et vous pousse à acheter la dernière version du marché: technique commerciale classique. Et bien, que nenni ! La mise à jour en direction de Seven est longue, certes, pour moi une heure et demie, mais ne nécessite aucunement votre présence. Tout est automatisé jusqu’à l’étape finale des paramétrages classiques obligatoires et de l’entrée de la clef d’enregistrement de la licence.
On fonce bien entendu immédiatement sur les bizarreries antérieures évoquées, pour tester, comme ça, en pensant que tout était peut-être du au concepteur de votre ordinateur : plus rien... tout tourne comme une horloge. Seule singularité, Windows Mail n’est plus présent dans Seven. On vous indique le fait et comment y remédier. Résultat des courses pour moi: juste à importer un carnet d’adresses dans un autre mailer.
Refonte importante et astucieuse de la barre de tâches. L’Aero est toujours présent et devient même Aero Shake et Aero Peek. Resté très gamin, j’adore virer les fenêtres qui encombrent le bureau en secouant celle que je veux conserver ou les rendre transparentes en amenant le pointeur tout à droite de la barre de tâches. La mise en réseau assez galère de Vista est devenue simplissime avec Seven. De nouveaux raccourcis facilitent hautement le positionnement des fenêtres et évitent les redimensionnements laborieux. A noter aussi dans le menu contextuel de la poubelle la disparition de l'option suppression qui m'a fait disparaître plusieurs fois par erreur cette icône du bureau alors que je souhaitais simplement vider la poubelle!
Le passage à Seven vaut vraiment le coup pour les prudents qui ont conservé XP comme système d’exploitation tout en ayant une machine éligible pour Vista.
L’obsessionnel qui sommeille en moi, et que j’ai évoqué dans un ancien billet, a réussi tout de même, on s’en doute, à planter le système en effectuant ce qui est clairement déconseillé: télécharger des mises à jours facultatives et en particulier la dernière version du pilote de la carte graphique, quand tout fonctionne à merveille. Mode sans échec, dernier point de restauration, sueurs froides et coucouche panier après avoir revêtu mon cilice !
Après utilisation:
- Paint est enfin devenu un outil dessin de base digne de ce nom.
- Présence d'un outil de capture performant pouvant enfin remplacer la touche "Impression d'écran" pour les captures.
- Belle évolution de Windows Media Player en synergie avec Windows Media Center.
- Mise à niveau intéressante des jeux Windows.
- Outils de gravure et de sauvegarde des données moins hermétiques.
- Bonne idée avec l'épinglage possible dans le menu démarrer ou dans la barre des tâches des programmes favoris.
- Bonne ergonomie du centre réseau et partage permettant enfin une bonne compatibilité avec les kits de connexion des fournisseurs d'accès sans ralentissement de l'ouverture des connexions.
- Possibilités de redimensionnement des fenêtres en glissant celles-ci en bordures d'écran.
- Amélioration sensible de la rapidité de certaines applications.
- Windows Live permet enfin de choisir les applications gratuites proposées par Microsoft sans surcharger votre installation en embarquant la totale: Windows Movie Maker est devenu plus ergonomique et à la portée des débutants, Windows Live Mail remplace définitivement Outlook Express. Ces applications doivent être téléchargées et ne sont plus installées d'office.
J’avais fini par m’habituer aux petites contrariétés persistantes de Vista. Des fenêtres qui ouvrent avec des modes de présentation que l’on n’a jamais enregistrés: une fois des icônes de grandes tailles, une fois des petites, une fois des listes. Des sons Windows qu’on finit par ne plus entendre le temps passant, comme le "stong" quand on retire un périphérique USB, même dans les règles de l’art: problèmes connus de compatibilité avec les cartes son. La mise en veille simple qui se transforme en veille prolongée sur un portable quand on est sur batterie alors qu’on a bien configuré le gestionnaire de fermeture. Les anciens logiciels remisés au placard. La définition graphique du fond d’écran qui varie selon la technique utilisée pour sa mise en place. Le petit gadget avec les cadrans d’utilisation du système dont celui de gauche monte régulièrement en flèche et celui de droite indique en continu une occupation copieuse de la RAM par le système. Les mises à jour qui tombent drues...
Le graphisme de l’interface de Vista était quoi qu’il en soit fort réussi avec son mode Aero et la prise en main du système d'exploitation très intuitive et un peu moins pagaille que sous XP.
Le passage à un autre système d’exploitation est souvent éprouvant pour les nerfs dans les heures qui suivent. L’application que vous utilisiez journellement, celle-là et pas les autres, ne fonctionne plus qu’imparfaitement et vous pousse à acheter la dernière version du marché: technique commerciale classique. Et bien, que nenni ! La mise à jour en direction de Seven est longue, certes, pour moi une heure et demie, mais ne nécessite aucunement votre présence. Tout est automatisé jusqu’à l’étape finale des paramétrages classiques obligatoires et de l’entrée de la clef d’enregistrement de la licence.
On fonce bien entendu immédiatement sur les bizarreries antérieures évoquées, pour tester, comme ça, en pensant que tout était peut-être du au concepteur de votre ordinateur : plus rien... tout tourne comme une horloge. Seule singularité, Windows Mail n’est plus présent dans Seven. On vous indique le fait et comment y remédier. Résultat des courses pour moi: juste à importer un carnet d’adresses dans un autre mailer.
Refonte importante et astucieuse de la barre de tâches. L’Aero est toujours présent et devient même Aero Shake et Aero Peek. Resté très gamin, j’adore virer les fenêtres qui encombrent le bureau en secouant celle que je veux conserver ou les rendre transparentes en amenant le pointeur tout à droite de la barre de tâches. La mise en réseau assez galère de Vista est devenue simplissime avec Seven. De nouveaux raccourcis facilitent hautement le positionnement des fenêtres et évitent les redimensionnements laborieux. A noter aussi dans le menu contextuel de la poubelle la disparition de l'option suppression qui m'a fait disparaître plusieurs fois par erreur cette icône du bureau alors que je souhaitais simplement vider la poubelle!
Le passage à Seven vaut vraiment le coup pour les prudents qui ont conservé XP comme système d’exploitation tout en ayant une machine éligible pour Vista.
L’obsessionnel qui sommeille en moi, et que j’ai évoqué dans un ancien billet, a réussi tout de même, on s’en doute, à planter le système en effectuant ce qui est clairement déconseillé: télécharger des mises à jours facultatives et en particulier la dernière version du pilote de la carte graphique, quand tout fonctionne à merveille. Mode sans échec, dernier point de restauration, sueurs froides et coucouche panier après avoir revêtu mon cilice !
Après utilisation:
- Paint est enfin devenu un outil dessin de base digne de ce nom.
- Présence d'un outil de capture performant pouvant enfin remplacer la touche "Impression d'écran" pour les captures.
- Belle évolution de Windows Media Player en synergie avec Windows Media Center.
- Mise à niveau intéressante des jeux Windows.
- Outils de gravure et de sauvegarde des données moins hermétiques.
- Bonne idée avec l'épinglage possible dans le menu démarrer ou dans la barre des tâches des programmes favoris.
- Bonne ergonomie du centre réseau et partage permettant enfin une bonne compatibilité avec les kits de connexion des fournisseurs d'accès sans ralentissement de l'ouverture des connexions.
- Possibilités de redimensionnement des fenêtres en glissant celles-ci en bordures d'écran.
- Amélioration sensible de la rapidité de certaines applications.
- Windows Live permet enfin de choisir les applications gratuites proposées par Microsoft sans surcharger votre installation en embarquant la totale: Windows Movie Maker est devenu plus ergonomique et à la portée des débutants, Windows Live Mail remplace définitivement Outlook Express. Ces applications doivent être téléchargées et ne sont plus installées d'office.