Grand-père maternel (armée française 1912) : en haut à droite - Pierre Duchailly - |
Grand-père paternel (armée italienne en 1916) - Luigi Tosi en bas à gauche |
Mariage de mes grand-parents maternels (Pierre DUCHAILLY et Claire CHRÉTIEN) à Villey-le-Sec le 17 juin 1913 - A droite des mariés, Arthur DUCHAILLY, mon arrière grand-père coté maternel. |
Photo officielle du couple DUCHAILLY en 1918 à Nancy - Atelier Kaiser - |
Quelques numérisations de vieilles photos retrouvées dans la boîte en carton de la Mansarde sont proposées dans ce billet: suite et fin.
Les années contemporaines de la période de la Première Guerre Mondiale. A noter que la photo la plus ancienne renfermée par cette boîte date de 1891. Concernant la fuite du temps et de la belle jeunesse, suivons le conseil du poète:
Ce que je traduirais par:
« Bien que rien ne puisse ramener l’heure
De la splendeur dans l’herbe, de la gloire dans la fleur,
Ne nous lamentons point, puisons plutôt
Force en ce qui nous reste d'antan. »
Ode sur les intimations à l’immortalité des souvenirs de la prime enfance.
1893 - Flavigny-sur-Moselle - Arthur DUCHAILLY et Léonie Victorine POTERLOT - DUCHAILLY avec leurs deux enfants, Pierre (mon grand-père maternel) et Léonie qui rejoindra la souche LORRAIN.
" Though nothing can bring back the hour
Of splendour in the grass, of glory in the flower;
We will grieve not, rather find
Strength in what remains behind; "
William Wordsworth - Ode on Intimations of Immortality from Recollections of Early Childhood -
« Bien que rien ne puisse ramener l’heure
De la splendeur dans l’herbe, de la gloire dans la fleur,
Ne nous lamentons point, puisons plutôt
Force en ce qui nous reste d'antan. »
Ode sur les intimations à l’immortalité des souvenirs de la prime enfance.
1893 - Flavigny-sur-Moselle - Arthur DUCHAILLY et Léonie Victorine POTERLOT - DUCHAILLY avec leurs deux enfants, Pierre (mon grand-père maternel) et Léonie qui rejoindra la souche LORRAIN.
Note : le film de 1961 de Kazan " Splendor in The Grass " fait référence à cet extrait du poème de Wordsworth. Un classique du cinéma pas si classique que cela, incontournable et intemporel.
ce que je trouve amusant dans les vieilles photos, c'est qu'on a toujours l'impression qu'on va reconnaitre l'un des nôtres. on en conclura donc qu'on se ressemble tous ! :-)
RépondreSupprimerEt je ne te dis pas si les premiers Hominidés avaient fait des selfies... mais, ils étaient sans doute moins cons que l'Homo smartphonus de base et sa tronche grand angle dysmorphique hilare sur face de bouc.
SupprimerCette mansarde est une vraie caverne de trésors !
RépondreSupprimerSuis très en retard dans les coms !
RépondreSupprimerJ'adore ces photos, c'est classe!
N'ayant aucune compétence en la matière, j'avais confié à M. Monge (rue de Villers à Nancy, tu as connu bien sûr?) des photographies d'ancêtres nés avant la révolution et qui avaient bénéficié de l'invention vers 1850. Après restauration, ça m'a permis de réaliser un arbre généalogique ...en photos!
AMF.
Là, tu mets quarante ans dans la vue à ma plus ancienne photo (je précise tout de même que le "ma" n'indique pas que j'en suis l'auteur). On doit se trouver à l'époque plaque de verre, ou procédé photographique avec film celluloïd, ou ferrotypie, ou collodion humide. Vive Nadar, entre autres, si l'on est chauvin.
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