jeudi 16 octobre 2014

IRB BARCELONA



Les scientifiques de l’Institut de Recherche en Biomédecine de Barcelone (IRB) ont travaillé sérieusement leur chorégraphie pour cette vidéo visant à lever des fonds de support pour la recherche sur les maladies telles que les cancers et leurs métastases, la maladie d’Alzheimer et les diabètes. Un don ira à l’IRB Barcelona pour chaque visualisation de ce "Lip Dub". N'hésitez pas à cliquer !

De S. à P. et etc. :
Bonjour famille!
Admettez que je ne suis pas du style à saturer vos boîtes avec des vidéos, ou avec quoi que ce soit du reste... alors, juste une petite entorse! Une belle initiative pour gonfler les caisses de l'IRB et vider celles de nos sponsors qui se sont engagés à nous verser quelques centimes par clic.
Bises à tous, que la joie demeure, et que Zorba continue à danser chez vous, ici l'été est de retour!

De P. à S. :
Hola fill !
Alexis Zorba le Grec, célèbre résident crétois de fiction, nous gratifie en Lorraine depuis quelques semaines de tonifiants pas de Sirtaki automnaux. Les Celsius affichent étonnement la vingtaine. Le blog-notes de la Mansarde apportera quelques clics à cette heureuse initiative.
" Les visages changent, s'effritent, retournent à la terre; mais d'autres en sortent qui les remplacent. Il n'y a qu'un seul danseur aux masques innombrables, immortel et qui a toujours vingt ans. "
- Nikos Kazantzakis - Alexis Zorba -
Congrès de la REMOA (Red Española de Microscopía Óptica Avanzada) à Madrid avec des participants de l'ADM (Advanced Digital Microscopy Core Facility), laboratoire adjoint à l'IRB Barcelona - 13 au 15 octobre 2014 -


Lien connexe du blog sur l'IRB : partir vers le lien en question

mardi 14 octobre 2014

SUPERTRAMP

L’histoire des grands groupes de musique Rock des 70' est émaillée de fâcheries, dissolutions et recompositions partielles. Supertramp n’échappe pas à la règle. Une période phare indéniable couronne souvent leurs biographies. Celles-ci sont faites de courtes résurgences créatives, de creux de vague, de retours en grâce publics d’origines variées. Remettre du beurre dans les épinards quand les comptes personnels s’assèchent après des années cigales n’est pas un moteur à négliger. Supertramp n’échappe pas aux séquences évoquées. La presse claironne régulièrement une recomposition des groupes initiaux (quand il n'y a pas eu de morts...), histoire de faire frétiller d’impatience les fans nostalgiques et avides de retours aux sources rédempteurs. Les vendettas, les disputes de cour d’école tenaces ("Y m'a piqué mon LSD dans mon cartable."), les rancœurs gluantes ("Tu m'avais promis de ne jamais interpréter cette chanson sans moi."), font la plupart du temps échouer ces projets parfois montés de toutes pièces par les journalistes. Le groupe "Superclochard" n’a pas fait l'économie des scènes de ménage et chicaneries du genre. La composition initiale ne s’est plus reformée jusqu’ici, laissant sur leurs bancs des membres de départ avec une bouteille de jaja.

Après tout, il y a de quoi s’en tamponner royalement le coquillard. Les dix années fastes allant de 1969 à 1979 suffisent à la mythologie du groupe et à graver sans peine une "compilation best of" de deux CD dans laquelle il n’y a rien à jeter. Originalité musicale, variété des thèmes et des ambiances des morceaux, créativité au pouvoir approchant parfois celle des quatre garçons dans le vent de Liverpool, font passer deux heures agréables à l’auditeur. Si celui-ci est un vieux con nostalgique, il affirmera que cette glorieuse décennie n’a pas été déboulonnée par les suivantes. Les groupes futurs des principaux courants Rock s’alimenteront sans fin au gisement de ces années là. "C´était hier, mais aujourd’hui rien n´a changé...", ainsi parlait Zarathoustra... ou Cloclo.