vendredi 27 février 2015

The Grand Budapest Hotel de Wes Anderson



Un billet lapidaire digne d'un "post" de réseau social. 

J'ai adoré ce petit bijou de Wes Anderson sorti en 2014. Un petit effort de ma part - tout de même - quelques copier-coller de critiques de presse auxquelles j'adhère.

" L'imagination, ici , galope, et ce "Grand Budapest Hotel" est baroque, drôle, régalant. C'est Stephan Zweig au pays des Pieds Nickelés."
- Le Nouvel Observateur -

" Un festival d'acteurs, un merveilleux capharnaüm narratif puissamment maîtrisé, un carrousel d'images emballantes et emballées, un pur plaisir de cinéma, haletant et raffiné."
- Marianne -

" De cet étourdissant mille-feuille, il émane une énergie, mais surtout une drôlerie électrique, mélange de pure fantaisie et d’ironie subrepticement morbide qui participent à la virtuosité de l’ensemble – l’humour, qui l’emporte d’un chouia sur l’émotion, agit comme un voile pudique d’une rare élégance. Le plus beau film de ce début d’année."
- TéléCinéObs -


Note :  un très court essai d'utilisation d'un seul et même système de commentaires entre Blogger et Google+ a été interrompu. Constatant que certains lecteurs seraient amenés à ouvrir une page ou un profil Google+ pour laisser un commentaire sur le blog, cela reviendrait à leur forcer la main. Google a une fâcheuse tendance à chercher à alimenter son réseau social de gré, ou de force pour ce qui me concerne...

7 commentaires:


  1. Ah ! Ce film est une petite perle, je vais le revoir dés que je peux ! Si ça vous intéresse, dans le Newsweek de la semaine dernière, il est paru un article de George Prochnik à propos de Stephan Zweig Cliquez Là (Pas mal mon lien hu ?)

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. For sure, an impeccably well-edited link, Mister Philff ! Qui plus est, il envoie en direction d'un article très détaillé sur les motivations de Wes Anderson d'évoquer l'auteur autrichien au travers de différents personnages de son film.
      Nota bene: dans les commentaires du blog conjoints à ceux de Google+, la syntaxe HTLM du lien apparaît clairement. Si j'avais su...

      Supprimer
    2. Vous n'avez pas terminé votre phrase. Si vous aviez su vous ne vous seriez pas laisser emm.. par un gars du sud pour des histoire de liens... Ah ah ah !! merci beaucoup. ( Vous avez oublié de mettre un lien à :"blog conjoints à ceux de Google+")

      Supprimer
    3. Je ne te conseille pas la manœuvre de fusion des commentaires. Cela met en foutoir terrible dans la section. J’ai été amené à faire un copier-coller de nos commentaires de Google+ dans le blog. Ton lien "MrPhilff", bien qu’entré en URL, est passé à la trappe. On n'en sortira jamais...

      En fait, je rigole a posteriori de ma conception graphique et tout le toutim d’une explication des liens dans Blogger en constatant les bizarreries de Google qui les active directement dans Google+ et reste préhistorique pour ceux des commentaires Blogger. Mon explication aurait été plus claire en te la filant dans Google+!
      Tu y vas fort le gars du Sud ! J’ai toujours adoré les échanges de petits trucs informatiques entre amateurs curieux, comme à l’antique mais glorieuse époque où j’avais un Dragon 32 . Tu pourras en déduire que j'ai dépassé légèrement la trentaine...

      Supprimer
  2. L'article de Newsweek est excellent, comme d'habitude et jette quelques lumières sur le contenu de ce film ! Sa description de Vienne est incomplète, however, et ne mentionne pas le profond ennui qui se dégage de cette ville excessivement morte...

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Je ne connais pas Vienne, mais selon ce qui apparaît comme un ressenti in situ, son bouillonnement culturel et musical du XXème siècle a viré à l'eau tiède et stagnante.

      Supprimer
    2. Same for me, Vienne m’est totalement inconnue, mais une si grande ville ! les opéras n’opèrent plus ?

      Supprimer

Commentaire de :