vendredi 28 janvier 2011

Problème de moteur





On est parfois perplexe au vu de la pertinence du listing offert par les moteurs de recherche à la suite de l’entrée d’une demande qu’on veut précise: celle écrite entre guillemets dans la fenêtre de recherche. Ainsi, si vous tapez dans Google, "Le blog-notes de la Mansarde", vous trouverez parmi quelques liens utiles (il faut en convenir), d’autres qui ont de quoi interloquer.


Un exemple parmi d'autres, un site (123.people pour ne pas le nommer) répertorie et propose les adresses de nombreux personnages de fiction de mes nouvelles. On trouve aussi au sein d’une liste à la Prévert des liens vers des articles de bureaux, des conseils pour restaurer une mansarde (au cas où la mienne prendrait l'eau), un lien vers un site porno ( ?!), un lien vers un site asiatique d’animaux de compagnie (merci de veiller au bien être du rédacteur du blog au cas où il serait seul à mourir), un lien sur la fabrication des rampes d’escalier cherchant probablement à vanter mon style d’humour.


Que dire alors des publicités qu’on me propose, associées lors de la publication de certains billets: formation de mentaliste pour le dernier en date, épilation masculine pour le billet traitant d’un type d’hermaphrodisme (encore heureux que ce ne soit pas les heures des séances du film culte "Ma femme s'appelle Maurice" ou Morris, d'ailleurs), initiation au tarot de Marseille en rapport avec un billet aux vagues consonances politiques, pour ne citer que les plus récentes !


Le lien qui tient cependant le pompon, c’est tout de même celui concernant les coordonnées d’un certain "Simon Cussonet", pseudonyme douteux dont j'avais usé un jour, mutin que je suis, pour répondre au commentaire d’un internaute...


Souhaitant améliorer la pertinence requise à la demande éventuelle de certains internautes au sujet de l’adresse précise du Sieur en question, pour ceux qui tenteraient désespérément de le joindre : Simon Cussonet habite à Tussorel dans le département de l’Eure.


Enfin, pour ceux qui seraient désespérément passés au travers de la fine plaisanterie de salon dont j'avais fait usage, au risque d'être lourdingue, cela donne en langage décodé : Si mon cul sonnait tu saurais l’heure (pour les visiteurs anglo-saxons ne pouvant percevoir toute la saveur bon enfant de ce private joke: "If my ass was ringing, you would know the time it is."). Qu'on se le dise, mais à l'oreille, à voix feutrée...

2 commentaires:

  1. Cette affaire qui sent mauvais risque de faire du bruit.

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  2. Gaspard> Ou,ce qui ne méthanerait qu'à moitié, de se dégonfler comme une vulgaire baudruche.

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