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vendredi 26 octobre 2007

Des chiffres et des angles


Un correspondant m’a adressé dernièrement un diaporama PowerPoint fournissant une explication étonnante au graphisme des chiffres actuellement en vigueur dans notre écriture moderne. Ceux-ci sont dénommés «chiffres arabes» et nous auraient été légués par l’intermédiaire de l’Espagne durant la colonisation musulmane de leur territoire de 714 à 1492. Je savais que nous devions aux Maures l’invention du zéro (mot arabe signifiant «le vide»), mais n’avait jamais eu vent qu’ils avaient emprunté aux Phéniciens leur mode de numération. Celui-ci retrouvé sur des abaques proposait neuf chiffres dont la calligraphie procède d’une logique se fondant sur le nombre d’angles contenu dans les figures originales de ces chiffres. L’iconographie de tête de billet en fait la démonstration. Merci aux internautes curieux de m’adresser des commentaires pouvant valider ou invalider cette théorie. Esprits obtus, un angle de vue nouveau plein d’acuité sur les chiffres anguleux...
*
Un lien sur l'histoire des chiffres

Note humoristique: de nombreuses personnes, en écrivant le chiffre 7, utilisent une barre supplémentaire horizontale au milieu du chiffre. La plupart des typographies l'ont fait disparaître aujourd'hui. Mais savez-vous pourquoi cette barre a survécu jusqu'à nos jours? Il faut remonter bien loin, aux temps bibliques. Lorsque Moïse eut gravi le mont Sinaï, et que les 10 commandements lui furent dictés, il redescendit vers son peuple et leur lut à haute et forte voix chaque commandement. Arrivé au septième « Tu ne commettras point d'adultère.Tu ne désireras pas la femme de ton prochain », de nombreuses voix s'élevèrent parmi le peuple lui criant : "Barre le sept, barre le sept, barre le sept !"

Et voilà l'origine de la barre du sept !

26 commentaires:

  1. Je crois bien que cette histoire d'angle est une invention moderne, utilisée après coup pour justifier les dessins.

    De plus, les arabes ont empruntés leurs chiffres, non pas aux phéniciens, mais aux indiens (d'Inde). D'ailleurs les chiffres utilisés par les levantins (arabes du Machrek) ont un dessin analogue. Par contre nos chiffres actuels (dits "arabes") proviennent des dessins utilisés au Maghreb (à Béjaïa/Bougie dit la légende).

    Voir http://fr.wikipedia.org/wiki/Chiffres_arabes

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  2. Hubert> Merci beaucoup pour ce commentaire qui va dans le sens des conditionnels utlisés dans mon billet. Passons donc à la trappe cette hypothèse folklorique. Origine indienne primitive puis magrébine potentielle pour les chiffres modernes. Je pars sur le lien Wikipédia fourni et te remercie de ta visite. A tantôt.

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  3. OK pour l'origine du 0 qui vient d'Inde et les Arabes qui l'ont développé.
    Ca reste tout de même rigolo à regarder, le 9 est tout de même un peu tarabiscoté par rapport au 6 hihihi.

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  4. Marsu> Effectivement, je m'étais fait la même réflexion sur le traitement inégalitaire entre le "6" et le "9" qui sont des images en miroir ! Beaucoup de visiteurs sur ce billet qui reste donc rigolo à regarder : du coup , tant pis pour ceux qui ne lisent pas les commentaires et mordent à l'hameçon...

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  5. Il faut également souligner le caractère forcé du 7 qui utilise un pied de caractère sérif pour arriver à son nombre d'angles alors que les autres sont tous sans sérif et que le 8 est le seul chiffre à utiliser des angles externes (en son milieu). Quand on veut prouver une théorie ... on tire un peu la couverture à soi.

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  6. anonyme> le "no angles" au centre du zéro me fait aussi soupçonner une chausse-trappe posée par la perfide Albion ou une de ses colonies ! Votre dernière expression me fait penser à une autre : "Fier de son habilité, le diable finit toujours par se démasquer en en faisant un peu de trop"...

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  7. Effectivement, l’écriture des chiffres dits "Arabes" est basée sur la logique du comptage du nombre d'angles aigus que contient une figure formée par des bâtons.
    Le zéro est effet représenté par un cercle, seule figure qui est formée d'un trait courbe et qui, apparemment, n’a pas d’angle. Si non, on peut considérer un bâton fictif formant le rayon de ce cercle et nous aurons, géométriquement parlant, un angle aigu égale à zéro.
    Pour la figure 9 tel qu’il est dans votre tablette, je suis de l’avis de Marsu ! Le dessin est bien tarabiscoté. En réalité, (comme tu dis, ou presque), la représentation du 9 n’est en fait qu’une simple symétrie centrale, des sommets des angles, de celle du 6. Je te laisse le soin de faire le tracé, le jeu est constructif.
    Cette symétrie du 6 est donc retenue par convention pour représenter le 9. Chercher à faire une figure de 9 angles aigus ne peut donner qu’une Bizaroïde. Cette Hypothèse resterait à confirmer.
    De même dans votre tablette la figure donnée pour le 7 n’est pas la bonne !
    En effet, comme remarque « l’inconnu » cette représentation utilise un « sérif » au pied 7 : une Birzarde !? Ce « sérif », si on veut l’appeler ainsi, est plutôt fixé verticalement en son milieu contre le bout gauche du bâton d’en haut du chiffre.
    Essayer ce dessin et vous aller voir que ça s’accepterait mieux !
    Au Sud du Maroc, nous avons encore des personnes traditionnellement lettrés qui écrirent les chiffres par des battants formant des angles, et c’est visible notamment dans leurs écriture des 1, 2, 3 et 8.
    Avec ces angles il est très facile d’apprendre à lire et à écrire les chiffres et c’est ce qui a fait leur succès, leur propagation dans le monde moderne.
    Pour l’histoire, et sauf avis contraire, de tous les pays « arabes » c’est seulement au Maghreb où ces chiffres ont été toujours utilisés !?!
    Et à défaut de contre indication, ces chiffres, dit « Arabes » n’ont nullement était utilisés en Arabie, et encore moins dans les autres pays Arabes du Moyens Orient qui continuent, à la différences du Monde, à n’utiliser que les chiffres Indous !?!
    La question d’arabité de ces chiffres ne serait-elle pas donc à remettre en cause.
    Ne sont-ils les Européens qui ont nommé ainsi de « chiffres arabes » cette calligraphie qui leur a été léguée par les Maghrébins à travers l’Espagne musulmane dont l’Arabe était la langue officielle.
    N’est-ce pas que pour ces même Européens de l’époque tout musulman est tout simplement un Arabe même s’il est Berbère ou Jordaniens !?!
    Et ces chiffres, dits encore « Arabes » ne sont-ils pas de même configuration que les lettres du tifinagh ; l’alphabet des écritures libyques, formé de bâtons et de lignes courbes, qui de nos jours est celle de la langue Amazigh (le Berbère).
    Peut prétendre que ces chiffres sont plutôt Amazigh, vu qu’avec l’état actuel des connaissances on peut dire qu’ils ont été inventés en Afrique du Nord qui n’est pas en réalité tout à fait une terre Arabe comme l’Arabie.
    Dans tous les cas, il resterait à déterminer quand exactement ces chiffres ont été inventés, et par qui s’il ne s’agit pas d’une œuvre collective de toute une civilisation !
    Ces questions et bien d’autres sont posées à nos professeurs et amis les chercheurs en Anthropologie !
    Abdelghani EL KHALDI, de Casablanca ; le 06/07/2009.

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  8. Abdelghani>

    Merci pour votre commentaire approfondi ayant trait à cet ancien billet. Vos connaissances dans le domaine redonnent du mordant à l’hypothèse d’un rapport direct du chiffre moderne avec le comptage du nombre d’angles aigus de la figure originale à base de bâtons.

    Je ne peux que vous suivre quant à l’arbitraire du choix historique du nom des chiffres dits « arabes ». Il faut se souvenir de l’approximation et du doux mélange concernant la localisation des ethnies peuples et peuplades du continent nord africain à l’époque de ce choix. Pour exemple, en France, on a utilisé longtemps le vocable de Maures tombé peu à peu en désuétude. De façon amusante, on pourrait demander de nos jours à un américain lambda de faire la différence entre France, Suisse, Belgique, Luxembourg voire Allemagne ou Italie pour ce qui concerne les états nations, beaucoup mieux définis depuis bien des années. Vous risquez d’avoir des réponses surprenantes. Ces pays sont en Europe sera probablement la réponse qui vous satisfera le plus ! Ne tenons trop rancunes à nos ancêtres européens de leurs approximations dans le domaine.

    Le terme à privilégier devrait être chiffres Maghrébins pour rendre à César, ce qui appartient à César. Voilà qui est dit.

    « Dans tous les cas, il resterait à déterminer quand exactement ces chiffres ont été inventés, et par qui s’il ne s’agit pas d’une œuvre collective de toute une civilisation ! »

    J’estime que vous avez tout dit avec cette belle phrase.

    Salut amical de par delà la Méditerranée.

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  9. Bonsoir cher The Webpupil ! ;

    Je te remercie d'avoir approuver la remise en cause de la dénomination encore retenue pour ces chiffres dont nos cousins Arabes du moyens Orient ont l’air de mépriser en leur préférant ceux des Indes. Je ne pense pas que je fais là autre chose qu’un constat de faits.

    Autre exemple pour appuyer le pourquoi de cette appellation d’Arabes, se trouve chez nous en Afrique du Nord. Pour nous tous les Européens s’appellent : les « Romains » !?!
    En effet, qu’il s’agisse d’Italiens, de Français, d’allemands ou d’autres peuples parmi nos voisins de la rive nord de la méditerranée nous les disons en Berbère : Iromine ; pluriel d’Aromi. Et aussi en l’Arabe de chez nous, nous les appelons : Rroima ; pluriel de Rromi.
    Ils se ressemblent tous, et en première approche tout ce qu’il vient de chez eux porte aussi ce qualificatif de Romain. Comme au moyen âge, et jusqu’à après les temps modernes, il est Arabe tout ce qui arrivait à l’Europe en venant du Sud de la méditerranée.

    Pour les faire mieux connaître ces chiffres, disons Maghrébins comme tu proposes, j’avais toujours en projet de publier un article détaillé sur leur genèse et leur logique mathématique.
    Et par ton présent billet à ce sujet, vous me faites dépêcher à ce travail.
    Je vous en fais signe dès que c’est fait.
    A bientôt !
    Abdelghani EL KHALDI, de Casablanca.

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  10. Dans ton commentaire, tu fais référence au Moyen-âge. Les mauvais historiens, manquent de souligner l’émerveillement des croisés à la découverte des raffinements de l’Empire Byzantin au sens large. Les grands empires au gré de leurs conquêtes ne se sont jamais durablement imposés par la force. Les échanges, le mélange des cultures et une forme de respect mutuel voire d’admiration a permis d’heureux métissages sources d’enrichissement autres que commerciaux. Ainsi, les Romains, développèrent-ils une admiration sans borne pour la culture de leurs ennemis grecs après la conquête d'une partie de leur territoire.

    Le mépris a pour racine principale, le manque de culture, de curiosité et le sectarisme.

    N’hésite pas à m’adresser un lien quand tu auras rédigé ton billet. J’y ferai référence dans le mien. Je suis très étonné de voir que ce dernier est l’objet de nombreuses visites. Les chiffres, leurs origines, éveillent donc bien la curiosité des internautes.

    Pierre.

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  11. Bonsoir Pierre ;
    Tu dis bien et vrai. Rassures toi, je partage tes Propos !

    Et en attendant, mon artile sur les Chiffres-aux-Angles-Aigus, j'aimerai te faire lire un de mes précédents sur les prénoms. Si tu veux te donner la peine d'aller voir comment tu peux ouvrir cette page web tu peux aussi avoir accès à un autre de même theme : http://www.eljadida.ma/actualite_news_el_jadida/le-livre-des-prenoms-11-la-mutation-des-prenoms-de-l-amazigh-a-l-arabe-a-travers-les-siecles-a2031.html

    Désolé si j'ai taché ton présent papier et ses commentaires avec ce renvoi. c'est que je n'ai pas su comment faire autremment !

    A bientôt ! Abdelghani.

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  12. Je rentre d'Egypte et un professeur d'université m'a conté la même origine des chiffre et des angles.
    Pourquoi refuser l'évidence...
    Nos instits nous ont raconté des fadaises et puis c'est tout.
    Rendons au Phéni=ciens et aux Arabes ce qui leur revient !

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  13. Je reviens d'un voyage en Egypte et un professeur d'université ma raconté cette même origine.
    Les chiffres arabes sont basés sur le nombre d'angles.
    Pourquoi refuser l'évidence ?
    Ce n'est pas parce que des maîtres d'école nous ont raconté des fadaises que nous sommes obligés de les croire jusqu'à la nuit des temps...

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  14. Bonjour,
    je viens de tomber également sur votre site...
    Je me demandais si Mr Abdelghani avait réussi à faire son article ? Je serais bien intéressé de le lire...
    Je n'arrive pas à le trouver sur son site.
    Au plaisir,

    Mr POUZERATE Quentin

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  15. M. Quentin Pouzerate> Je n'ai pas plus de nouvelles que vous de cet article de M. Abdelghani dont j'aurais tout autant apprécié la lecture.
    Merci de votre visite, et, qui plus est, d'avoir laissé un commentaire.
    Salutations cordiales.

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  16. Pour ceux qui font les savants, alors qu'ils ignorent l'histoire. je vous invite à bucher un peu avant de venir raconter des conneries. de un , les arabes écrivent les chiffres de cette manière, le 7 est écrit correctement. et de 2 , je trouve très débile vos références entre le 6 et le 9 !!!! quelqu'un vous a dit que le 9 c'est le chiffre 6 à l'envers ? justement chaque chiffre est dépendant et a sa spécificité. Donc arrêtez Svp et saluez plutôt ses invention. aussi je vous le rappelle : je vous recommande de lire l'histoire des arabes. ça vous fera du bien

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  17. Anonyme> Merci de cette leçon de courtoisie et de cette belle page à l’orthographe très personnelle qui a probablement l’heur de s’adresser aussi aux commentateurs du billet dont certains sont des ressortissants du Maghreb. Je signale, au passage, que vous les jugez bien moins calés que vous sur leur propre histoire...

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  18. Le+ Important de tout ESQUE ces explications sont juste ou sinon l'epreuve Qui composent votre emeteur & avec nos sensibles outils recepteur & surtout la noblesse de votre BLOG avec le philtre d'information avec sa beauté d'epreuve
    +Que merci.../...AHM

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  19. L'histoire des angles dans la graphie des chiffres est une création car elle provient en réalité la représentation de l'arme de prédilection de chacun des 10 esprits primitifs qui ont engendré l'humanité dans la mythologie des pré-summériens, le zéro étant le plus fort car il est l'esprit du néant. Ce sont des astrologues avec la dimension de prédiction attachée à ce terme qui ont, effectivement à l'emplacement de l'inde actuelle, créé ceux-ci.
    Pour le 6 et le 9, il s'agit d'une symbolique liée à une combinaison de deux symétries axiales (une verticale et une horizontale qui émane de croyances numérologiques : 6 c'est 2 x 3 et 9 c'est 3 x 3, il y a 2 chiffres 3 ; son équivalence se retrouve aussi via les signes du zodiac de la vierge et du sagittaire, respectivement 6ème et 9ème signes dans leur double opposition rapport à leur positions respective entre équinoxe de printemps et solstice d'hiver.
    Et ce sont aussi de réputés astrologues mauresques (donc oui, des berbères) qui ont emprunté ces chiffres lors de voyages d'échange scientifiques chez leurs homologues chinois....etc...
    Mais au final, tout le monde a un peu raison car toute civilisation, lorsqu'elle s'approprie quelque chose, crée des mythes fondateurs qui légitiment cette nouvelle possession.

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    1. Merci pour ce commentaire à la fois consensuel et apportant des éléments complémentaires à ce billet. Je vous rejoint parfaitement sur le final de votre commentaire.

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    2. En réalité je m'appelle Franck (commentaire du 8 janvier 2013)et j'ai poussé jusqu'en maitrise des études de mathématiques avec une spécialité en cosmologie. (pour couper court à de fallacieux commentaires, ceci n'a aucun rapport avec la cosmétique ou l'astrologie)
      J'ai de même étudié avec parcimonie la numérologie du fait de la profession d'un membre de ma famille.
      évidemment, l'origine des chiffres et donc des nombres est capitale dans l'appréhension du sujet traité ici.
      Je suis surpris (en réalité déçu) de ne voir apparaitre aucun commentaire qui puisse étayer ou infirmer (bouh ouh non) mes assertions....
      Exception faite de la réponse de Pierre.
      Sur d'autres forums, il est dommageable par contre de voir surgir des commentaires vouant à certaines ethnies ou religions des aptitudes hors du commun quant à un sujet universel.
      Bref, une petite machine à remonter le temps créée grâce aux outils mathématiques et DES réponses nous obtiendrons.....

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  20. Bonjour
    Je n'ai pas tous lu mis je voudrais juste noter que le rapprochement des chiffes avec les angles n'a aucun fondement historique ou scientifique. On ne sait comment c'est apparu mais on sait que c'est relativement récent. Ça ne peut être qu'un moyen mnémotechnique et pédagogique en guise de tentative de rationaliser l'écriture des chiffres et fournir un alibi pour leur apprentissage.
    Rien ne justifierait que les chiffres ont été écrits à l'aide de traits droits, segments par exemple. Aussi, noter que si on dépasse la base dix, on aura besoin d'un chiffre avec 10, 11, 12, 13,.... Ou 16 angles.

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    1. Vous remarquerez dans les commentaires que de nombreux lecteurs vont dans votre sens. Merci de la visite.

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  21. que de fadaises et de digressions sans rapport avec cette histoire d'angles qui est marrante mais loin d'être rigoureuse
    pour arranger la sauce :
    - on transforme les arrondis de 2 3 5 6 8 9 mais pas pour le zéro (n'importe quel polygone aurait aussi fait l'affaire
    - on ajoute un crochet au 9 mais pas au 2 ni au 6
    - le 7 se voit affublé d'un pied mais pas le 1
    - des triangles sont choisis pour le 8, pourquoi un autre polygone ?
    - pourquoi la barre horizontale du 4 ne dépasse-t-elle pas ? et puis celui-là, il y a tellement de façons de l'écrire qu'on peut en faire ce qu'on veut

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